Éveil écospirituel 

S’éveiller à notre appartenance au Vivant

 
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 Rejoins la rélovution écospirituelle !

 
 

Déjà toute petite, j'avais l'intuition que dans ce monde certaines choses ne tournaient pas rond.

Par exemple, les guerres et les famines.
Ou les filets dérivants qui tuent les dauphins, les espadons et plein d'autres animaux marins. Inutilement.
Les mariages forcés et les femmes violées.
Les animaux morts percutés par des voitures qui jonchent le bord des routes.
Les fortunes colossales de quelques un·e·s alors que la majeure partie de la population humaine vit sous le seuil de pauvreté.
Ou les tortues marines qui s'étouffent en prenant un sac plastique pour une méduse…

Être témoin de tout ça sans pouvoir rien y faire m'a fait beaucoup souffrir.

Je suis devenue végétarienne.
J’ai commencé à manger et consommer bio.
J'ai arrêté d'acheter de nouveaux vêtements, livres et meubles.
J’ai boycotté les biocarburants qui déforestent l’Amazonie.
J’ai décidé de réutiliser mes sacs papiers jusqu'à ce qu'ils deviennent de la dentelle.
Et de donner autant d'argent que possible à des ONG qui préservent les écosystèmes…

Cela ne me semblait jamais assez.

J'éteins névrotiquement toutes les lumières et voyants inutiles.
Je me douche tous les trois jours pour économiser l'eau et les savons qui polluent les rivières.
Je me suis équipée d’un téléphone portable recyclé et recyclable.
Maximiser mes trajets en voiture m'est plus facile que faire un Sudoku.
Récemment, j'ai changé de banque et revu tous mes placements…

Cela ne me semble toujours pas suffisant.

Parce qu'en vivant dans un système socio-économique basé sur un paradigme de pensée dominateur, extractif et déconnecté du Vivant chacun de mes actes de consommation finit par l'être aussi, quelque part dans la chaîne de production. Même à la coopérative de vrac bio…

Après des litres de larmes de désespoir,
de deuil,
de colère,
d'indignation,
de résignation même.

Des heures de paralysie,
de déprime,
de désespoir ravalé,
d'amertume,
de « on n’a qu'à tous mourir ».

Aidée par de mystérieuses synchronicités,
des rencontres improbables au bas mot,
des livres,
des pubs Facebook,
des sommets virtuels,
des rencontres fortuites,
des vidéos proposées par YouTube,
des ruptures amoureuses,
des piqûres d'abeille,
des formation en ligne à gogo,
un chevreuil percuté par une voiture,
le décès de mon chat maître es-détachement,
des business mentors qui ne m'ont pas épargnée,
et j'en passe…

J'en suis arrivée à la conclusion que ce n'est pas ce que nous faisons qu'il faut changer. Mais ce que nous pensons.

Afin que, sans aucun effort de plus à faire, ce que nous faisons s'alignant avec ce que nous pensons, nous arrêtions de saccager la planète même en voulant bien faire. Afin qu’aller faire mes courses à la coopérative de vrac bio ne compromette pas l'habitabilité de cette planète pour mon neveu et ma nièce.

Et cette façon de penser s’appelle l’écospiritualité.

 
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